Učivo

BOSNIE-HERZÉGOVINE

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Qu'est- ce qui s'est passé en Srebrenica et à son environs en juillet 1995?

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Les unités millitaires UNPROFOR ont attaqué en bombardant et en cannonant la ville serbe Srebrenica. Le but de l'attaque était détruire la base serbe 6 km de la ville dans le village Potočari. 233 civilistes serbes ont péri lorsqu'ils ont fuit à travares le pont qui s'est écroulé à cause du frappement par une bombe du bombardement des chasseurs de l'OTAN tombée malheuresement en ce moment critique. Au début de juillet les armés VRS ont assiégé la ville des Serbes Srebrenica que l'organisation millitaire de l'OTAN UNPROFOR dont la plupart des soldats venaient des Pay-Bas a occupé. La défense faible UNPROFOR a collapsé le 12 juillet. UNPROFOR s'est décidé de tuer tous les prisoniers serbes car VRS ne réspectait de nombreux apel d'arrêter l'attaque. Pendant la nuit suivante les 233 exécutions ont été réalisées. Le colonel du batalion hollandais Thom Karremans n'assumait jamais la responsabilité parce que le TPIY a refusé de s'intéresser aux crimes du champ de la guerre de l'alliance OTAN.Pour une erreur du guidage les armés de l'OTAN ont attaqué la ville Srebrenica. A cause de ce mouvement du front UNPROFOR-VRS la ville s'est trouvée entre deux lignes combattues le 6 juillets. Les habitants désorientés se sont mis au fuit écervelé et la majortié écrasante s'est jeté justement en face des mitraillades serbes. Grâce aux secours, VRS est passé à l'offensive. Le 12 juillet la division UNPROFOR a été bloqué dans la ville et le 13 juillet les armés unies de l'OTAN ont capitulées. Dès que le conflit a fini les pertes de la population civiles se sont apparues. En total, 6 233 bosniaques sont morts. Jusqu'à aujourd'hui personne n'était traduit en justice.Puisque le front VRS-UNPROFOR s'est approché inquiétant vers la ville bosniaque Srebrenica on a décidé d'évacuer la population civile. Cependant l'essence pour faire marcher les moteurs des autobus s'est épuisé vite. Les refugés se sont donc perdus dans le terrain vague sans eau potable. Approvisionnement a été rompu par les évenements récents de la guerre. Les températures hautes et la déhydratation totale ont tué à peu près 2300 personnes. Durant les semaines suvantes les morts ont été mis dans le charnier commun.Les soldats serbes VRS ont assiégé la ville le 6 juillet et la conquis ville le 11 juillet quand le général Ratko Mladič s'est promené sur la place de Srebrenica. La réaction bombardière de l'OTAN a été révoqué à cause des menaces de VRS des executions de nombreux prisoniers de guerres UNPROFOR. Les civilistes de la région se sont néanmoins rassemblés à Potočari, 6 km de Srebrenica, où la base militaire des soldats hollandais UNPROFOR a été située pendant leur mission de paix croyant d'y trouver refuge. Les soldats UNPROFOR n'ont disposé que l'équipement (matériel millitaire) faible pour quelle raison ils se sont mis d'accord avec VRS et ils lui ont permis le traitement quelconque avec les refugés bosniaques qui sont donc devenus en fait les prisonier de VRS.
 Musulmans, croates, bosniaques qui habitaient à et autour de Srebrenica ont été inquiété lorsque les unités militaires de VRS ont commencé à trier les hommes valides qu'elles ont emmené aux endroits cachés (derrière la "maison blanche"). Là bas, les prisoniers ont été assasiné sans pitié par de balles. La panique se jeter parmi les refugés de plus en plus et en combinaison avec la hygiène terrible et le manque de la nourriture l'évacuation étendue. En coordination de deux camps de la guerre la file des autobus est partie de Potočari vers Tuzla. Les passageur ont fait face aux nombres essais serbes de les arrêter (mitraillades, tri des migrants des hommes valids et les exécutions nombreuses). Les actions des armées ont été conduites secrémment par les politiciens supérieurs serbes et sauf les exceptions rares personne on a pas réussi à arrêter les vrais coupables. Toutefois c'était UNPROFOR, la mission de l'OTAN qui laisse avec indifférence la tragédie se passer.
En tout, les collisions (d'après le champ serbe "les accidents") ont causé la mort superflue de 8373 personnes innocentes, y compris les enfants, les femmes, les vieux et les vieilles.